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L’association Italy and Co est née de ma rencontre avec Giuseppe Fidanza, Vice-président de l'association, issu comme moi de l’immigration italienne.
L’objectif de l’association Italy and Co consiste principalement, et pour autant que faire se peut, à mettre en relation avec les différents services hospitaliers relatifs à leurs pathologies les enfants malades devant êtres hospitalisés et dont le pronostique vital est engagé.
Nous soutenons au travers de notre site les associations et les organismes dont le but est d'aider, de sauver des enfants malades où qu'ils soient. Exemples : La Chaîne de l'espoir, Mécénat chirurgie cardiaque etc.
Soyez nombreux à soutenir notre projet car notre il est aussi le vôtre.
D’avance merci et à très bientôt.
Le Président
Renato SALVATORE |
Mode de fonctionnement
L’association Italy and Co de part ses contacts dans le secteur médical, met en relation avec les services hospitaliers les enfans dont le pronostique vital est engagé.
Pour se faire, l’association Italy and Co a besoin de vous, de vos dons, de vos subventions.
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A MEDITER...A MEDITER...A MEDITER...A MEDITER...A MEDITER... |
Petit poème sur l'argent
Il peut acheter une maison mais pas un foyer
Il peut acheter un lit mais pas le sommeil
Il peut acheter une horloge mais pas le temps
Il peut acheter un livre mais pas la connaissance
Il peut acheter une position mais pas le respect
Il peut payer le médecin mais pas la santé
Il peut acheter du sang mais pas la vie
Il peut acheter du sexe mais pas l'amour
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Le sourire
Un sourire ne coûte rien mais il a une grande valeur
Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent
Il ne dure qu'un instant mais son souvenir est éternel
Personne n'est assez riche pour s'en passer et même les pauvres peuvent le posséder
Le sourire nous repose quand nous sommes fatigués
Il nous encourage quand nous sommes fatigué et nous réconforte quand nous sommes tristes
Il nous aide à combattre tous nos soucis
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler
Il a de la valeur seulement quand il est donné
Si vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire soyez généreux donnez lui le vôtre
Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres
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La jalousie
Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui :
Ceux qui voudraient faire la même chose,
Ceux qui font précisément le contraire
Et surtout la grande armée des gens d'autant plus sévères, qu'ils ne font rien du tout.
J. Clarétie
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Tu seras un homme...
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir, Si tu peux être amant sans être fou d’amour ; Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre Et , te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles, Sans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les Rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frères, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître, Penser, sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu peux être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ; Si tu peux rencontrer triomphe après défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront ; Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire, Tu seras un Homme, mon fils.
R.Kipling
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Lorsque l'enfant paraît
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux.
Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre Les chaises se toucher, Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire. On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère Tremble à le voir marcher.
Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme, De patrie et de Dieu, des poètes, de l'âme Qui s'élève en priant ; L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie Et les poètes saints ! la grave causerie S'arrête en souriant.
La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure, L'onde entre les roseaux, Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare, Sa clarté dans les champs éveille une fanfare De cloches et d'oiseaux.
Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez ; Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés !
Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies, Car vos petites mains, joyeuses et bénies, N'ont point mal fait encor ; Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange, Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange À l'auréole d'or !
Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche. Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche. Vos ailes sont d'azur. Sans le comprendre encor vous regardez le monde. Double virginité ! corps où rien n'est immonde, Âme où rien n'est impur !
Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers !
Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime, Frères, parents, amis, et mes ennemis même Dans le mal triomphants, De jamais voir, Seigneur ! l'été sans fleurs vermeilles, La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, La maison sans enfants !
Recueil Les fleurs de l'automne
Victor Hugo
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Un enfant... C'est un petit bonhomme A peine haut comme trois pommes, Tout débordant de vie Pour prouver qu'il existe. Il a le coeur très pur Où il n'y a pas de murs, Dans ses grands yeux ouverts Brille tout un univers... Il aime les châteaux de sable, L'herbe verte et agréable. Il jette des pierres dans l'eau, Court après les oiseaux. Endormi contre un arbre, Une peluche dans les bras, Il rêve de contes de fées, Du royaume de la bonté. Il fait beaucoup d' soucis Mais tous on les oublie, Quand il vient dire : je t'aime On ne pense plus à ses peines.C'est qu'un petit enfant, C'est fait pour les mamans, Un amour aussi grand Peut vivre éternellement.
Jean-Claude Brinette
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Un tout petit bébé
C'est un rayon de soleil, Un vrai cadeau du ciel Il ressemble à un ange, Tout rempli d'innocence
Il aime être bercé Dans des bras bien serrés, Là, tout contre le coeur Il fait croire au bonheur
C'est le fruit de l'amour, Le souvenir d'un jour Où l'on a tout donné Pour faire un nouveau né Comme l'oiseau dans son nid Il découvre la vie, Il regarde et il rit, On voit qu'il a compris
Jean-Claude Brinette
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Association italienne Italy and Co
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